Alors je vous mets un rapport d’une bataille de 1999 que j’avais trouvé sur un site maintenant disparu. Complètement oublié que j'avais ça…
Les Mayas ne sont pas contents d’être envahis alors ils téléportent une armée en Europe histoire de rendre la politesse, malheureusement ils ne visent pas très bien et atterrissent dans les États du Pape. Le pape n’est pas content.
LES MAYAS
. Général Bretteur : général et guerriers d’élite
. 2 Bretteurs : autres guerriers d’élite
. 5 Guerriers
. 1 Tireur : frondeurs
. 1 Héros : demi-dieu
. 1 Volant : serpent à plumes
LES PAPISTES
. Général Clerc : légat papal
. 3 Chevaliers
. 1 Cavalier : arbalétriers à cheval
. 1 Bretteur : hallebardiers suisses
. 2 Tireurs : arquebusiers
. 1 Béhémoth : forteresse à vapeur de Léonard de Vinci
. 1 Vaisseau Aérien : machin volant à vapeur avec des canons
Les Papistes sont les défenseurs, leur Forteresse est un château.
Le Vaisseau et les arbalétriers montés sont à leur droite, les Chevaliers et la forteresse à vapeur au centre ( je crois comprendre que le général y est aussi mais en arrière ), les hallebardiers et les arquebusiers à leur gauche.
Les Mayas ont le demi-dieu, les frondeurs et le serpent à plumes à leur gauche, les Bretteurs au centre, les Guerriers dans un bois à leur droite.
Les Mayas décident d’attendre l’attaque ennemie.
Les Papistes avancent lentement et envoient le Vaisseau menacer la gauche des Mayas. Les Mayas envoient contre lui le serpent à plumes, qui est abattu comme un canard.
< je suppose que les Papistes continuent d’avancer sur tout le front >
Les Mayas envoient alors le demi-dieu et les frondeurs contre le Vaisseau mais il est maintenant soutenu par les arbalétriers montés et les frondeurs sont expédiés ad patres.
Le demi-dieu résistera à toutes les attaques et bloquera la droite ennemie jusqu’au moment où les Papistes enverront contre lui la forteresse à vapeur, il se retirera alors vers le centre. Là il bloquera les nouvelles attaques soutenu par une partie des Guerriers ramenés de la droite.
Pendant ce temps, sur la droite, les Guerriers se font tirer dessus par les arquebusiers sans résultat, ils contre-attaquent et repoussent un arquebusier encore et encore alors que l’autre tient. Les hallebardiers essayent d’intervenir mais se font exterminer. Les combats continuent sur cette aile sans victoire décisive.
Pendant ce temps au centre, les Chevaliers chargent et d’abord sans résultat. Une unité de Chevaliers repousse son adversaire mais se fait encercler et détruire.
Exhortés par le légat, ils se concentrent sur le général ennemi qui une fois isolé se fait éliminer. Habemus papam.
L’auteur du rapport, qui jouait les Mayas, en a tiré plusieurs leçons
Leçon n°1 : un Héros isolé est très résistant mais n’est pas assez puissant pour détruire les ennemis, il doit bénéficier d’un débordement
Leçon n°2 : pas d’attaques futiles sans bonnes raisons ( moi je traduis, hein ) telles que retarder une attaque ennemie. C’est comme ça que j’ai gaspillé le serpent à plumes – il était surclassé par le Vaisseau et malgré ça je l’ai envoyé sans soutien.
Leçon n°3 : acharnez-vous sur un Béhémoth en bout de ligne. Même si vous ne le détruisez pas, son recul éliminera l’unité ennemie à côté. J’ai essayé ça, mais en vain – un Chevalier papiste en a été très soulagé.
Leçon n°4 : ne tirez pas quatre 1 de suite pour vos PIPs ! C’est la raison majeure pour laquelle j’ai adopté une stratégie défensive. Quand je me suis remis à avoir des jets normaux, les Papistes avaient franchi le plus gros de la table.
Sujet: Mayas contre Renaissance Steampunk 
8/8/2022, 13:42